jeudi 20 août 2009
Bienvenue en Guadeloupe Monsieur Olivier Biancarelli!
ais avant ,ous soumettons à nos internautes ,ce que nous avons pu recueillir sur votre parcours personnel.Tâche qui s'est avérérude ,dans la mesure qu'il est quasiment impossilbe d'avoir votre biographie,sauf si il faut payer 6 euros au site WHO'SWHO IN FRANCE,sur AVENE site gratuit ,votre apparait avec une page blanche..Venons à l'essentiel:Il a à peine 38 ans, reste d’une grande discrétion, mais son rôle s’accroît peu à peu à l’Élysée. Olivier Biancarelli n’a jamais été adhérent à l’UMP : il s’occupe pourtant aujourd’hui des relations avec le Parlement (en binôme avec l’incontournable Jérôme Peyrat) et de l’outre-mer. En liaison avec la conseillère politique du chef de l’État, l’ancienne journaliste Catherine Pégard, il tente de mettre de l’huile dans des rouages qui ont beaucoup grincé au printemps quand les députés et sénateurs de la majorité avaient l’impression de ne jamais être écoutés ou quand ils menaçaient de bouder la révision constitutionnelle... Cet obstacle a été franchi de justesse en juillet dernier, mais les risques de nouvelles tensions resurgissent depuis quelques semaines. Le RSA cher à Martin Hirsch et son mode de financement – une taxe sur les revenus du capital – ne passera pas comme une lettre à la poste.La formation d’Olivier Biancarelli est des plus classiques : ancien élève de l’ENA, il a vécu plusieurs expériences en préfecture (Savoie, Martinique, Aveyron) ainsi que place Beauvau. Père d’une famille nombreuse, le voici happé par le service de l’État.1996 : Sciences-Po Paris2000 : ENA (promotion Averroes)Septembre 2002-août 2004 : directeur du cabinet du préfet de la région Martinique, préfet de la MartiniqueNovembre 2005-mai 2007 : chargé de mission pour les affaires européennes au ministère de l’IntérieurDepuis juin 2007 : conseiller au cabinet de Nicolas Sarkozy .Comment un jeune-homme qui n'est pas membre de l'UMP peut-il faire partie de la garde rapprochée du PRESIDENT ET QUI GERE LES DESTINE DE L'OUTRE MER?Se dit en passant cela représente un CAMOUFLET pour lesmilliers de militants UMP!Tout s'explique par le parcours du président NICOLAS SARKOZY,qui n'a pas de grandes ,profondes racines françcaises puisque ses parents sont et demeurent des HONGROIS.Son génie ,il s'est construit une racine en tissant des liens avec la communauté CORSE!Nous reproduisons cet article prit au site du journal le Monde:Les racines corses du présidentLE MONDE 04.07.07 15h45 • Mis à jour le 04.07.07Nicolas Sarkozy et Charles Pasqua en 1990.Il ne l'évoque que rarement, mais Nicolas Sarkozy a une terre d'adoption envers laquelle il éprouve une réelle gratitude. En Corse, il s'est fabriqué une partie de ses racines. Camille de Rocca-Serra, député et président de l'Assemblée territoriale de Corse, n'est pas peu fier d'être à la source de cet attachement. C'est lui qui a présenté Nicolas Sarkozy à sa première femme, originaire de l'île : "C'était dans les années 1970, j'étais venu à Neuilly à un dîner-débat. Nicolas a pris la parole. Je me trouvais avec une de mes cousines et l'une de ses amies, Marie-Dominique Culioli. Après, elles voulaient absolument que je les présente, vous connaissez la suite."Marie-Dominique est l'une des deux filles de Rose et Henri Culioli, pharmacien du village de Vico, situé au-dessus de Sagone, à une heure de route au nord d'Ajaccio (Corse-du-Sud). Cette famille de notables respectés reprendra plus tard une pharmacie en région parisienne.Dans le Sagone des années 1970, Nicolas Sarkozy, étudiant BCBG de Neuilly-sur-Seine, dénote, avec sa coupe de cheveux digne de la série "Dallas", ses mocassins à pompons ou à glands et son pull rouge immuablement noué autour du cou. Il reste à distance, observe les spécificités locales. Bien que futur mari d'une enfant du pays, il reste "un Français". Mais la forte structuration de la société insulaire, ses liens de solidarité et d'entraide ne peuvent qu'attirer ce fils de déracinés hongrois délaissé par son père.La maison construite par sa belle- famille, sur la plage de Sagone, une grande villa surnommée Ros'Hen, pour Rose et Henri, ses beaux-parents, fut une scène idéale pour saisir les entrelacs de la communauté corse. Elle a abrité un temps, en sous-sol, une boîte de nuit fréquentée par la jeunesse locale.JEANNOT BIANCARELLfrère de la mère de la première épouse du PRESIDENT SARKOZY , l'oncle de sa femme, qui s'occupait du lieu, avait déjà géré une boîte à Paris, La Dame blanche, à Pigalle. Connu des services de police, cet oncle s'était rangé des voitures et faisait régner l'ordre dans l'établissement.Un autre oncle, haut en couleur, souvent tout de blanc vêtu, amateur de chaussures bicolores, Jean-Baptiste Culioli, croupier en Suisse, aimait faire irruption dans la boîte de nuit familiale en offrant le champagne à l'assistance. L'établissement sera finalement fermé par la préfecture à la suite d'un coup de feu reçu par un Marseillais. Ne subsisteront que les soirées privées.La famille Géronimi, proche des beaux-parents de Nicolas Sarkozy, propriétaire du glacier-patissier situé juste en face de la villa Ros'Hen, à Sagone, connaît bien le nouveau président de la République. Le jeune Sarkozy accompagnait André Géronimi pour la tournée de pain dans les villages de montagne. Il nouera avec cet homme un lien d'affection et s'imprégnera à ses côtés des particularités de la Corse profonde.Le hasard va conduire les Sarkozy à côtoyer les Colonna, qui résident dans le village voisin de Cargèse et dont l'un des fils, accusé d'avoir tué le préfet Erignac, sera arrêté, le 4 juillet 2003, par Nicolas Sarkozy ministre de l'intérieur. La soeur d'Yvan Colonna n'est autre que la compagne du fils d'André Géronimi, mentor bienveillant du jeune Nicolas. Par la suite, l'un des fils Sarkozy, tenté un temps par la vie de berger, fit son stage chez un éleveur basé au-dessus de Sagone, ami d'Yvan Colonna, lui-même berger.On a pu voir ces dernières années, à la terrasse du bar glacier Géronimi de Sagone l'un des fils Sarkozy de retour d'un tournoi de foot organisé sur la plage, se désaltérant avec le fils d'Yvan Colonna. Les quelques années d'écart n'y changeaient rien. Le fils Sarkozy, voisin d'en face, fils d'une fille du pays, était comme chez lui dans cette maison qui a si souvent vu son père. Le fils d'Yvan y demeurait également souvent, puisqu'il était chez son oncle par alliance. Ces croisements n'impliquent aucun lien d'obligeance. Mais ils offrent à Nicolas Sarkozy une connaissance intime de la complexité insulaire, la faculté de décoder cette société et de prévenir certains de ses pièges.A la différence d'un Charles Pasqua, qui a entretenu avec l'île un rapport de clientèle, Nicolas Sarkozy s'appuie sur des fidélités qui n'ont pas été construites grâce à des services rendus. Parmi ses relations, on compte les principaux élus UMP de l'île, comme Camille de Rocca-Serra. Mais aussi la propriétaire du Maquis, hôtel de luxe au charme discret donnant sur la baie d'Ajaccio, qui l'a connu jeune adulte et l'accueille volontiers lors de séjours privés sur l'île ; ce restaurateur ajaccien connu pour ses pâtes aux langoustes, dont la faconde a su séduire le futur président ; ce retraité continental installé à Sagone depuis longtemps, avec qui il aime jouer au tennis.S'il doit beaucoup à son culot et à son ambition d'être devenu président de la République, Nicolas Sarkozy sait aussi que la Corse, ou plutôt les Corses, lui ont ouvert les portes d'une carrière politique. Son cercle se retrouvait chaque année à Sagone à l'Hôtel Cyrnos, établissement trois étoiles alors fort prisé. Véritable annexe de l'Assemblée nationale pour les députés corses, le Cyrnos accueillait le gratin de l'UNR de l'époque, rebaptisé RPR fin 1976 par Jacques Chirac. On y aperçoit les caciques du gaullisme : René Tomasini, secrétaire général de l'UNR, le "M. Corse" de Chirac, incontournable à Paris ; Lucien Neuwirth, questeur de l'Assemblée nationale, grâce à qui Sagone aura l'électricité ; l'ex-premier ministre de De Gaulle, Michel Debré, et sa famille ; le député parisien Gabriel Kaspereit ou encore la journaliste parlementaire Danièle Breem. La bonne société parisienne côtoie les grandes fortunes.Jean Bonfanti, le patron des disques Véga, usine en Espagne, appartement avenue d'Iéna à Paris, villa près de Sagone, paie le feu d'artifice sur la plage tous les 15 août. Dans l'assistance, Achille Peretti, l'immuable maire de Neuilly-sur-Seine, compagnon de la Libération, président de l'Assemblée nationale de 1969 à 1973, et son ami, le banquier Jean-Marc Vernes.Cette petite compagnie se rend souvent à Ajaccio pour faire la fête au restaurant Sons et Guitares géré par Antoine Bonelli, le guitariste de Tino Rossi. Le comédien Daniel Ceccaldi et le chanteur André Clavaux fréquentent ce cercle. La mère de Nicolas Sarkozy, Andrée, avocate, en est à l'occasion.Achille Peretti, maire de Neuilly, prendra Nicolas Sarkozy sous sa coupe. "Tout ce que je sais de la politique municipale, c'est M. Peretti qui me l'a appris (...). On savait en ville que j'étais un peu son fils spirituel", lance le jeune maire, élu à la succession de son mentor, décédé en 1983. A 23 ans, il était déjà sur la liste Peretti pour les municipales de 1977. Il franchira ensuite tous les échelons du militant, organisant les campagnes locales du RPR. "Achille a enseigné à Nicolas Sarkozy le quadrillage électoral et la pratique du pouvoir", analyse José Rossi, ancien ministre (PR) et ex-président de l'Assemblée territoriale de Corse. Adoubé par le maire de Neuilly, pilier des réseaux gaullistes issus de la Libération, le jeune Nicolas est soutenu par les Corses des Hauts-de-Seine, dont Charles Pasqua, grand metteur en scène du RPR, ou Charles Ceccaldi-Reynaud, maire RPR de Puteaux.Le décès brutal de M. Peretti va changer le destin politique de Nicolas Sarkozy. Chargé d'organiser la primaire entre les principaux postulants à la succession d'Achille Peretti, dont Charles Pasqua, il va jouer sa propre carte. "Chirac et Tomasini avaient décidé que ce ne serait pas Pasqua, qui lorgnait trop depuis 1981 sur la présidence de la République", rapporte Jean-François Probst, un des piliers du RPR à l'époque.La volonté des fidèles de M. Peretti de voir son "fils spirituel" reprendre le flambeau fit le reste. Dans son livre Ce que je sais (Seuil, 300 p., 19 €), M. Pasqua expédie en bas de page cet épisode qu'il qualifie "d'aussi inélégant qu'inutile". Nicolas Sarkozy est désigné maire de Neuilly. "Achille lui a donné sa chance, il a su la saisir, estime Camille de Rocca-Serra, dans le fond il est comme les Corses, gaulliste et bonapartiste."Ces liens avec l'île feront de lui un partisan d'une solution politique au dossier corse. En 2003, ministre de l'intérieur, il tente à son tour de régler le problème insulaire et choisit la voie référendaire pour réformer les institutions. "Cette consultation est faite pour vous", dit-il aux représentants des nationalistes corses dont il a rencontré les plus radicaux à son domicile en 2002.Dans un dîner à Paris, en colère contre les élus insulaires qui traînent les pieds, il étrenne une formule qu'il réutilisera quelques années plus tard : "Il faudrait les passer au Kärcher." Début juillet 2003, le référendum est perdu. "Il a trop voulu convaincre et il a laissé du temps à l'opposition pour s'unifier, regrette José Rossi, partisan du oui, mais l'arrestation d'Yvan Colonna lui a permis de rebondir sur le terrain de l'ordre public.""M. Sarkozy est un personnage ambivalent, note Jean-Christophe Angelini, porte-parole du Parti de la nation corse, un courant nationaliste minoritaire. Il éprouve une affection pour notre île et sait décoder les enjeux insulaires. Mais, depuis son échec au référendum, il axe son discours sur la seule sécurité publique, sans perspectives à long terme."Un discours payant, du moins à l'aune des résultats à la présidentielle : celui qui se prend pour un enfant du pays a obtenu... 60,12 % des suffrages en Corse.Muni de ce passeport,OLIVIER BIANCARELLI,va montrer ses compétences en débauchant certains élus de l'outre-mer,lors d'une élection très importante pour le Président:Le Canard enchaîné du mercredi 23 juillet révèle les tractations qui ont permis à Sarkozy d’obtenir l’adoption de la réforme constitutionnelle à quelques voix près ! Dans cet article, on apprend que le président de la République doit beaucoup à son conseiller parlementaire et Outre-mer, Olivier Biancarelli.Alerté sur les risques de voir la réforme retoquée, M. Biancarelli , le "monsieur outre-mer" de l’Elysée s’est attaché à convaincre particulièrement les députés Chantal Berthelot de la Guyane, Jeanny Marc de la Guadeloupe, Albert Likuvalu de Wallis-et-Futuna ainsi que Serge Letchimy de la Martinique, leur promettant des cadeaux et des avantages pour leur circonscription.A Chantal Berthelot, de Guyane qui avait donné procuration à Christiane Taubira avec instruction de voter non, Olivier Biancarelli lui aurait promis un « plan de développement pour la Guyane », que le Canard résume ainsi : « Quelques kilomètres de bitume "Pour Jeanny Marc de Guadeloupe, c’est Alain Marleix qui lui aurait indiqué que « sa circonscription serait, certes, remaniée, mais à son avantage ».Pour Albert Likuvalu, le député de Wallis et Futuna, cette fois, il a été question d’une réforme statutaire, rien de moins ! réforme statutaire réclamée à cors et à cris par la grande majorité de la population de l’île. De quoi lui permettre de rentrer en héros dans sa circonscription.Quant à Serge Letchimy, le député-maire de Fort-de-France, héritier politique d’Aimé Césaire malgré le harcèlement dont il a été victime, il ne s’en est pas laissé conter et a maintenu son vote contre la réforme.Bref, le président de la République et ses amis ont usé de toutes les ficelles, même les plus grosses pour faire adopter sa réforme qui, rappelons le, a été approuvée à une majorité de quelques voix.Ce succès lui permet de se faire bien voir à l'ELYSEE, et aussi de bénéficier de solides appuis au ministère de l'intérieur où les cadres dirigeants sont des CORSES , qui gère l'OUTRE MER !Les révoltes dansles DOM ont pali son image ,lorsque HAYOT le saigneur de notre économie a voulu parler au Président ,c'est lui qui a permis cela.O connait la suite YVES JEGO EST RAPPELE DE TOUTE URGENE A PARIS!Sa venue pour clôturer les états généraux cette semaine qui arrive,nous perme de lui rappeler les SEPT PLAIES QUE LA FRANCE DEVRA RESOUDRE DE TOUTE URGENCE,texte qui se trouve sur ce site.IL DOIT BIEN COMPRENDRE QUE NOUS SOMMES EN AMERIQUE ET QUE LA GOUVERNANCE A CHANGE AVEC LE PRESIDENT BARACK OBAMA .CHEZ LUI, EN CORSE DES MILLIERS D'OSSUAIRES DE NOS PARENTS CRUCIFES PAR LE BOURREAU BONAPARTE DOIVENT DORMIR EN PAIX DANS NOTRE REGION!IL EST DE SA RESPONSABILITE DE TOUT FAIRE POUR REGLER CE DOSSIER NON NEGOCIABLE POUR LES PEUPLES DE LA REGION QUI ONT RECU SES COMPATRIOTES SANS ARRIERES PENSEES!PARMI EUX DES COMBATTANTS POUR L'indépendance des USA en 1779!
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