Nous ne pouvons laisser tomber Willy Brigitte pour l'étudiante Clotilde Reiss!!

l va s'en dire que n'ayant pas de moyens ni matériels,ni organisationnels,ni financiers pour le faire sortir de la prison de fresnes à Paris,nous utilisons ce qui nous reste ,l'écrit ,les mots pour livrer notre avis sur les affaires judiciaires de ses protégés qui accaparent le Président Nicolas Sarkozy ,qui oublie qu'il congèle un compatriote depuis 6 ans en prison ,sans que que la morale ébranle ses convictions d'équité.Dans un premier temps on va ,présenter ce que nous savons de l'affaire Willy Brigitte, un Pointois qui mérite beaucoup plus de ses compatriotes et de tous ceux qui partagent les valeurs de justice,de démocratie...Si cela s'avère utile on n'hésitera pas à faire les correctifs neccessaire pour que a vérié et la justice soit totale envers notre Willy Virgile Brigitte.Sa biographie:Willie Virgile Brigitte (né le 10 Octobre 1968 à Pointe-à-Pitre, Guadeloupe) est un "Français "converti à l'islam, qui "associé" à al-Qaida au Pakistan était peut-être impliqué dans un complot visant à mener une opération terroriste en Australie .L juge Français anti terroriste Brugnières a demandé aux procureurs de Brigitte, actuellement en garde à vue, d'être condamné à 10 ans de prison pour son admission de sa participation à une organisation terroriste .Brigitte on le sait est née sur l'île caraïbe de la Guadeloupe, un territoire colonie ,dans le sens que la France n'a pas de titre de propriété qui légitime sa présence dans cet outre-mer de la France. Il est issue d'une famille honnorable, il a grandi en Guadeloupe et il a fréquenté L'université de Fouillollesil a vécu dans un milieu à l'aise économiquement e affectivement. Il s'installe à Paris pour sa dernière année de scolarité, mais il a choisi de se joindre à la marine au lieu de la séance pour le baccalauréat. Il a servi pendant trois ans, après avoir déserté l'armée à deux reprises.Après son retour à la vie civile en 1993, il a travaillé dans une variété d'emplois, et il aété comme aide d'un boucher,aussi un travailleur social, d'un salarié d' imprimerie,il a oeuvré dans la la réhabilitation des toxicomanes ,de facilitateur de cas difficiles, un enseignant etc...Brigitte a été brièvement marié à une femme musulmane syrienne, Chakoura al Soubai, avec qui il a eu un enfant, mais à l'époque, aucun d'entre eux ont été particulièrement religieux.Il lit beaucoup, y compris le Coran, et à l'âge de trente ans en 1998, il a décidé d'embrasser l'Islam dans son intégralité. Brigitte a adopté plusieurs nouveaux noms dont Mohammed Abderrahman, Abderrahman Mohammed Ibrahim, Abou Maimouna, Salahouddin, Jamal et Abderrahman la West Indian ". Il a fréquenté une école islamique au Yémen.Recrutement d'Al-QaïdaBrigitte a participé à la Omar et Abou Bakr des mosquées dans la majorité des immigrés pauvres de la banlieue de Paris Couronnes, pour étudier à la fois l'islam et l'arabe. Les mosquées tristement célèbre pour la prédication d'un mélange de militants islamistes et puritaine dogme, imprégnée d'anti-impérialiste et anti-occidentale sentiments. Cest à Paris- Couronnes que Brigitte est entré en contact avec des personnes ayant des liens avec l'Algérie à base de Groupe salafiste pour la prédication et le combat. Il a été conduit de façon étrange sur un pénible séjours en camping,on estime l'intelligence des Français à être conçu par des islamistes recruteurs pour trouver des combattants. On suppose sans preuve formelle qu'il a aidé des islemistes à se procurer des passeports belges qui ont été utilisés par les assassins qui ont réussi à se rapprocher et à tuer et à se kamikazer , de l'Alliance du Nord le chef de guerre afghan Ahmed Shah Massoud.Brigitte épouse sa seconde femme, N'Deye Sarr, un Sénégalais [3] Muslim, en 1999. Ils ont deux filles, et ne divorce en 2001.Brigitte est dirigé vers l'Afghanistan en 2001, après les attaques du 11 / 9 2001, pour aider les talibans. La guerre a empêché d'entrer en Afghanistan, il a passé quatre mois au lieu de formation dans un Lashkar-e-Taiba camps au Pakistan. Il a reçu l'instruction dans le maniement des armes et des explosifs. Sajid Mir, un expert du dispositif chargé de la gestion des étrangers, a vu en lui comme d'un potentiel opérationnel d'Al-Qaïda.Au début de 2002, Brigitte revient à Paris. Garder un profil bas, il a évité le contact avec sa famille et vit dans une auberge avec Ibrahim Keita, un autre converti à l'islam, qui a rencontré Brigitte dans un camp sur les différentes expéditions organisées par les mosquées Couronnes. Brigitte a cependant été réticents à lui aussi, et Keita a l'a suspecté quand Brigitte lui a demandé s'il pouvait emprunter son permis de conduire. Finalement, en Mai 2003 Brigitte quitte Paris pour l'Australie, au moyen d'un billet à la condition que lui Mir soit auparfum. Il n'a pas dit à Keita où il allait.En AustralieBrigitte est soupçonné d'avoir dormi chez Faheem Khalid Lodhi, mieux connue sous le nom d'Abou Hamza, un Pakistanais de naissance, naturalisé australien-contact de Mir, vivant dans le sud-ouest de Sydney. Il a travaillé dans un restaurant halal dans le centre de Sydney, et il fraternitise avec un certain nombre de collaborateurs de Hamza, il a maintenu constamment le contact avec Mir par téléphone. Brigitte a aussi un intérêt pour les questions locales, et il a rejoint la formation dans un gymnase géré par Tony Mundine (père du boxeur australien Anthony Mundine). Hamza pour sa part a continué à travailler comme architecte, mais aussi sur des questions sur acqusition de grandes quantités de nitrate d'ammonium, un ingrédient pour fabriquer une bombe.Afin de rester plus longtemps en Australie, il a demandé un mariage de convenance,ce qui reste à prouver avec Melanie Brown, qui a été présenté par une connaissance mutuelle dans la communauté islamique. Brown comme Brigitte a été converti à l'islam, et avait servi dans l'armée australienne comme un signaleur au Timor oriental. Elle a pris sa conversion à l'islam très au sérieux, et est désireux à se marier avec un musulman, même si Abou Hamza l'a vue comme un risque pour la sécurité et de quelqu'un qui prendrait la place dans son appartement. Dix jours après la rencontre de l'autre ,Brigitte et Brown se sont mariés dans une cérémonie islamique, le 30 août 2003.Brigitte vigoureusement a cherché à obtenir des informations à partir de Brown au sujet de l'armée australienne, de son équipement et son fonctionnement, y compris les détails de la défense commune Pine Gap installation. Brown, conscient de ses obligations de ne pas transmettre des informations classifiées, réussi à ne pas transmettre quoi que ce soit sensiblement secret - elle a pris la précaution de détruire ses carnets de son temps au Timor oriental. Brigitte et Hamza ont souvent occupé la liaison avec d'autres associés dans la communauté islamique, et tenu à distance Brown.Arrestation et expulsionLa DST, de la France ,la sécurité intérieure de l'agence de renseignement , ont passivement suivi »Abderrahman la West Indian» depuis 1998. Après les autres membres de la cellule terroriste Couronnes ont été trouvés pour la lutte contre al-Qaïda en Afghanistan, enquêtes sur les autres a été renforcée. Il n'a pas été jusqu'au 3 Septembre 2003, que le pseudonyme «Abderrahman la West Indian" était liée à Willie Brigitte. Le 16 Septembre 2003 Français intelligence a identifié que Brigitte avait acheté un billet aller simple pour l'Australie, et six jours plus tard, l'ambassade d'Australie a été notifiée par courrier au sujet de Brigitte et son arrière-plan, à la confirmation que Brigitte était toujours en Australie. Pensant que c'était une routine,la trace de cette demande des autorités australiennes n'ont pas immédiatement répondu. Impatient, dix jours plus tard, le français a envoyé une deuxième communication - cette fois-ci directement à l'ASIO, de l'Australie du renseignement de sécurité corps. Le message est arrivé au siège de l'ASIO 11pm le 3 Octobre 2003 - le vendredi soir de la Fête du travail à long week-end.Brigitte a rapidement été arrêté pour des raisons de la non-violation de travail, de dispositions de son visa de touriste, et envoyé au Centre de détention de Villawood Immigration. Il a été détenu au secret, et il a été interrogé par les officiers ASIO - Brigitte a été en grande partie non coopératifs mais il était représenté par son avocat Harry Durimel. Abou Hamza a été mis sous surveillance.Brigitte a ensuite été expulsés et renvoyés à la France de ce mois, où il a été arrêté à l'arrivée. Lors de son arrestation a été rendu public les autorités australiennes contre Hamza déplacés et plusieurs de ses associés, de les arrêter à l'aube d'une série de raids dans le sud-ouest de Sydney. En 2006, Hamza a été condamné à vingt ans d'emprisonnement après avoir été reconnu coupable de la planification d'une attaque terroriste sur le réseau de distribution d'électricité en Australie.Brigitte l'affaire en justice en Février 2007, inculpé en vertu de la loi française de "l'association avec des criminels en relation avec une entreprise terroriste". Le 15 Mars, il a été reconnu coupable et condamné à une peine de neuf ans de prison. [4] Il reste légalement mariée à Brown.Procédure judiciaireLe 20 octobre 2006, le juge français Jean-Louis Bruguière a signé l'ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel de Paris de Willie Brigitte et de Sajid Mir, un des responsables présumé du LET au Pakistan visé par un mandat d'arrêt français.Willie Brigitte a été jugé en février 2007 devant la 14e chambre pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste », une qualification passible de dix ans de prison. Il a été condamné à neuf ans de prison.Cinq islamistes ont déjà été condamnés à des peines de deux à sept ans de prison en mai 2005 dans ce dossier duquel le cas de Willie Brigitte avait été disjoint.-Le cas Willy Brigitte, vu par un journzal Algérien où de la justice en France et en Australie (pas fameux pour le pays des droits de l'Homme).Willy Brigitte vient d'être condamné en par un tribunal français à 9 ans de prison pour ses projets d'attentat contre des sites nucléaires et militaires en Australie où il avait été arrêté en 2003 avant d'être extradé vers la France.Dans son compte rendu du verdict, la presse ne se prive pas de revenir sur le passé de ce Français d'origine antillaise, mais né en région parisienne, et qui a embrassé la religion musulmane en 1997 - 1998.Oui, mais dans sa version radicale nous explique le quotidien Le Monde qui nous relate que,Avant d'être incarcéré et de se retrouver devant ses juges, Willie Brigitte s'est marié trois fois et a beaucoup voyagé. Ses deux premières femmes, épousées successivement en 1993 et en 1998, ont brossé aux enquêteurs le portrait d'un homme que la foi en l'islam avait transformé.Je ne sais comment vous comprenez ces deux phrases mais moi je les lis ainsi : depuis sa naissance Willy Brigitte attendait d'être incarcéré et de retrouver ses juges qui lui ont quand même laissé le temps de se marier trois fois.sLe Monde oublie de préciser que le droit musulman autorise quatre épouses, mais je pense qu'il laisse au lecteur le soin d'imaginer et de faire le lien entre les multiples mariages de Willy Brigitte, sa conversion à l'Islam "radical" et ses projets d'attentats terroristes.sToute personne attentive à la chronologie notera que Brigitte s'est séparé de sa première épouse avant sa conversion à l'Islam et que sa séparation d'avec la deuxième coïncide à peu près avec sa conversion. Et notre journal si bien informé omet de nous rapporter qui a pris l'initiative du divorce dans un cas comme dans l'autre.sPar contre, et c'est l'objet d'un intertitre en gras du quotidien du soir, nous apprenons que sa deuxième épouse a affirmé aux policiers qu'il était"devenu un véritable dictateur"Bon, maintenant je pense que vous voyez le lien entre les idées politico-religieuses du sieur Brigitte et sa trajectoire matrimoniale.Parce que même si Eddie Barclay a eu au moins trois épouses, il n'était certes pas un dictateur : il se contentait d'en profiter quelques temps avant de les libérer des chaînes du mariage en leur assurant ce petit surcroît de notoriété lié à son nom qu'elles acceptaient bien volontiers de continuer à porter.sComme on le voit, la politique c'est compliqué surtout en matière de terrorisme islamique .Par contre la justice n'a pas trouvé le dossier bien compliqué et Willy Brigitte a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris àneuf ans de prison ferme pour son parcours dans les réseaux islamistes internationaux et un supposé projet d'attentat en Australie en 2003.L'Express rapporte également ce qui suit :L'accusation soutenait que Willy Brigitte préparait un attentat, peut-être contre un réacteur nucléaire, ou contre une autre cible, près de Sydney. La défense soulignait que ce point n'était pas étayé par de véritables preuves.Les seuls éléments à l'appui de cette thèse sont en effet des documents saisis chez lui sur "des mesures de protection et dissimulation", un ouvrage sur l'art de la guerre, des écrits sur l'attitude à avoir dans les lieux publics et un lien vers un site internet donnant des informations sur des installations nucléaires et militaires en Australie.Ce passage n'est absolument pas mis en valeur dans le corps de l'article, à la différence du "dictateur" placé en intertitre gras par le quotidien Le Monde. Pourtant il renvoie à quelque chose d'essentiel en matière de justice : la question de la preuve. Grosso modo, l'Express nous dit que le dossier d'accusation ne comporte pratiquement aucune preuve et... c'est tout.sCe n'est pas Willy Brigitte qui bénéficiera d'un plaidoyer dans le style "J'accuse" d'Emile Zola. Comprenez, trois femmes, une conversion à l'Islam radical, des séjours au Yémen et en Afghanistan [pays où il semble avéré qu'il aurait séjourné dans un camp d'entraînement], faut pas pousser quand même!sPourtant Brigitte, condamné avant tout pour des projets d'attentats en Australie, a été arrêté dans ce dernier pays avant d'etre remis aux autorités françaises. Comment se fait-il qu'il n'ait pas été jugé aux antipodes?dA ma connaissance, la presse française ne se pose pas vraiment la question.dA la différence de la presse australienne. Ainsi le Sidney Morning Herald titre-t-il :Le verdict contre Brigitte laisse des questions sans réponseset écrit que :La prise en compte de la solidité des preuves peut sembler une question purement académique. Avec la loi anti-terroriste française et sa définition extensive de la "bande organisée," les activités de Brigitte en France, au Yémen et au Pakistan auraient été suffisantes pour obtenir sa condamnation.avant d'observer que :Néanmoins, les autorités françaises se sont senties obligées de faire des activités de Brigitte en Australie la pièce maîtresse de leur dossier même si, elles en constituaient probablement la partie la plus fragile.Le procès Brigitte est bel et bien l'occasion pour le quotidien australien de s'en prendre au système judiciaire français puisque,En d'autres termes, les preuves australiennes au centre de la condamnation de Brigitte en France étaient probablement insuffisantes pour obtenir une condamnation en Australie.De plus, Brigitte avait été inculpé de complot en relation avec une entreprise terroriste dès son arrivée à Paris en octobre 2003, suite à son expulsion d'Australie.Mais il semble que le seul complot terroriste auquel il ait jamais été associé, celui qui qui aurait du constituer la base du dossier français d'accusation, n'avait pas encore été découvert à cette époque.Et le journal de préciser logiquement que :D'un autre côté, si la police australienne avait réussi à rassembler des preuves incontestables contre Brigitte avant son expulsion, il aurait été, et aurait du ête jugé en Australie.Ce sont ces points qui justement incitent l'avocat de la défense, Jean-Claude Durimel, à faire appel de la décision du tribunal.Au cours du procès, Brigitte a nié être un activiste, et a affirmé que "Le terrorisme est contraire à ma conception de la vie et aux préceptes de l'islam."On peut hésiter sur la sincérité de cette déclaration, pourquoi pas. Il est par contre évident que la justice française témoigne d'une grande aisance quant il s'agit de la qualité des preuves devant certaines catégories d'accusés.posted by Djazaïri at 8:49 PM.On constate que des jeunes français ,issus de la diaspora juive installés dans les REGIONS de France se rendent en Israel pour faire le coup de feu contre les Palestiniens sans être inquiétés par la justice française,comme certains Libanais,lors des conflits Chrétiens-Musulmans ont participé à cette guerre,as-il eu des mis en examen ,on ne le crois pas. .Pourquoi cette diabolisation de notre compatriote WILLY VIRGIL BRIGITTE?Le plus difficike à admettre c'est le silence glacé de ses compatriotes ,ce qui encourage le système judiciaire DE PARIS à être implacable.Combien de politique ont osé lui envoyé un colis,comme le font les associations juives ,Arméniennes,Turcs;Arabes ,le font pour leurs filles et garçons emprisonnés dans les geoles françaises.Il est temps qu'on soit des HUMAINS,non des monstres.....On demande aussi à nos Politiques de prendre modèle sur la Mairesse de Montreuil Dominique Voynet qui a su avoir une courageuse position dans l'affaire du jeune cameraman qui a reçu dans l'oeil un flahball à bout portant tiré par un policier.Sa prise de position a obligé la police des polices à ouvrir un enquête,il est vrai qu'une émeute s'est entre- temps déclenché!