jeudi 20 août 2009

Le manifeste des 121 et les adieux de certaines personnalités à Francis Jeanson

l fallait un courage indéniable à ces femmes et hommes pour rompre la tranquillité de ces politiques qui ferraillaient sans pitié avec les militants Algériens dont certains étaient quotidienement guillotiné,d'ailleurs le journal de la radio commencait toujours par l'annonce de leur exécution ,dans le but d' entretenir la peur parmi la population !1)L'apel des 121:Manifeste des 121Déclaration sur le droit à l'insoumissiondans la guerre d'Algérie6 septembre 1960Le 6 septembre 1960, 121 écrivains, universitaires et artistes rendent public le texte suivant (dans Vérité-Liberté, no 4, septembre-octobre 1960 ; ce numéro fut saisi et le gérant inculpé de provocation de militaires à la désobéissance). Cet appel vaudra à certains signataires de sévères sanctions (révocations...).Un mouvement très important se développe en France, et il est nécessaire que l'opinion française et internationale en soit mieux informée, au moment où le nouveau tournant de la guerre d'Algérie doit nous conduire à voir, non à oublier, la profondeur de la crise qui s'est ouverte il y a six ans.De plus en plus nombreux, des Français sont poursuivis, emprisonnés, condamnés, pour s'être refusés à participer à cette guerre ou pour être venus en aide aux combattants algériens. Dénaturées par leurs adversaires, mais aussi édulcorées par ceux-là mêmes qui auraient le devoir de les défendre, leurs raisons restent généralement incomprises. Il est pourtant insuffisant de dire que cette résistance aux pouvoirs publics est respectable. Protestation d'hommes atteints dans leur honneur et dans la juste idée qu'ils se font de la vérité, elle a une signification qui dépasse les circonstances dans lesquelles elle s'est affirmée et qu'il importe de ressaisir, quelle que soit l'issue des événements.Pour les Algériens, la lutte poursuivie, soit par des moyens militaires, soit par des moyens diplomatiques, ne comporte aucune équivoque. C'est une guerre d'indépendance nationale. Mais, pour les Français, quelle en est la nature ? Ce n'est pas une guerre étrangère. Jamais le territoire de la France n'a été menacé. Il y a plus : elle est menée contre des hommes que l'Etat affecte de considérer comme français, mais qui, eux, luttent précisément pour cesser de l'être. Il ne suffirait même pas de dire qu'il s'agit d'une guerre de conquête, guerre impérialiste, accompagnée par surcroît de racisme. Il y a de cela dans toute guerre, et l'équivoque persiste.En fait, par une décision qui constituait un abus fondamental, l'Etat a d'abord mobilisé des classes entières de citoyens à seule fin d'accomplir ce qu'il désignait lui-même comme une besogne de police contre une population opprimée, laquelle ne s'est révoltée que par un souci de dignité élémentaire, puisqu'elle exige d'être enfin reconnue comme communauté indépendante.Ni guerre de conquête, ni guerre de "défense nationale", ni guerre civile, la guerre d'Algérie est peu à peu devenue une action propre à l'armée et à une caste qui refusent de céder devant un soulèvement dont même le pouvoir civil, se rendant compte de l'effondrement général des empires coloniaux, semble prêt à reconnaître le sens.C'est, aujourd'hui, principalement la volonté de l'armée qui entretient ce combat criminel et absurde, et cette armée, par le rôle politique que plusieurs de ses hauts représentants lui font jouer, agissant parfois ouvertement et violemment en dehors de toute légalité, trahissant les fins que l'ensemble du pays lui confie, compromet et risque de pervertir la nation même, en forçant les citoyens sous ses ordres à se faire les complices d'une action factieuse et avilissante. Faut-il rappeler que, quinze ans après la destruction de l'ordre hitlérien, le militarisme français, par suite des exigences d'une telle guerre, est parvenu à restaurer la torture et à en faire à nouveau comme une institution en Europe ?C'est dans ces conditions que beaucoup de Français en sont venus à remettre en cause le sens de valeurs et d'obligations traditionnelles. Qu'est-ce que le civisme, lorsque, dans certaines circonstances, il devient soumission honteuse ? N'y a-t-il pas de cas où le refus est un devoir sacré, où la "trahison" signifie le respect courageux du vrai ? Et lorsque, par la volonté de ceux qui l'utilisent comme instrument de domination raciste ou idéologique, l'armée s'affirme en état de révolte ouverte ou latente contre les institutions démocratiques, la révolte contre l'armée ne prend-elle pas un sens nouveau ?Le cas de conscience s'est trouvé posé dès le début de la guerre. Celle-ci se prolongeant, il est normal que ce cas de conscience se soit résolu concrètement par des actes toujours plus nombreux d'insoumission, de désertion, aussi bien que de protection et d'aide aux combattants algériens. Mouvements libres qui se sont développés en marge de tous les partis officiels, sans leur aide et, à la fin, malgré leur désaveu. Encore une fois, en dehors des cadres et des mots d'ordre préétablis, une résistance est née, par une prise de conscience spontanée, cherchant et inventant des formes d'action et des moyens de lutte en rapport avec une situation nouvelle dont les groupements politiques et les journaux d'opinion se sont entendus, soit par inertie ou timidité doctrinale, soit par préjugés nationalistes ou moraux, à ne pas reconnaître le sens et les exigences véritables.Les soussignés, considérant que chacun doit se prononcer sur des actes qu'il est désormais impossible de présenter comme des faits divers de l'aventure individuelle, considérant qu'eux-mêmes, à leur place et selon leurs moyens, ont le devoir d'intervenir, non pas pour donner des conseils aux hommes qui ont à décider personnellement face à des problèmes aussi graves, mais pour demander à ceux qui les jugent de ne pas se laisser prendre à l`équivoque des mots et des valeurs, déclarent :•Nous respectons et jugeons justifié le refus de prendre les armes contre le peuple algérien.•Nous respectons et jugeons justifiée la conduite des Français qui estiment de leur devoir d'apporter aide et protection aux Algériens opprimés au nom du peuple français.•La cause du peuple algérien, qui contribue de façon décisive à ruiner le système colonial, est la cause de tous les hommes libres.Arthur Adamov, Robert Antelme, Georges Auclair, Jean Baby, Hélène Balfet, Marc Barbut, Robert Barrat, Simone de Beauvoir, Jean-Louis Bedouin, Marc Beigbeder, Robert Benayoun, Maurice Blanchot, Roger Blin, Arsène Bonnefous-Murat, Geneviève Bonnefoi, Raymond Borde, Jean-Louis Bory, Jacques-Laurent Bost, Pierre Boulez, Vincent Bounoure, André Breton, Guy Cabanel, Georges Condominas, Alain Cuny, Dr Jean Dalsace, Jean Czarnecki, Adrien Dax, Hubert Damisch, Bernard Dort, Jean Douassot, Simone Dreyfus, Marguerite Duras, Yves Ellouet, Dominique Eluard, Charles Estienne, Louis-René des Forêts, Dr Théodore Fraenkel, André Frénaud, Jacques Gernet, Louis Gernet, Edouard Glissant, Anne Guérin, Daniel Guérin, Jacques Howlett, Edouard Jaguer, Pierre Jaouen, Gérard Jarlot, Robert Jaulin, Alain Joubert, Henri Krea, Robert Lagarde, Monique Lange, Claude Lanzmann, Robert Lapoujade, Henri Lefebvre, Gérard Legrand, Michel Leiris, Paul Lévy, Jérôme Lindon, Eric Losfeld, Robert Louzon, Olivier de Magny, Florence Malraux, André Mandouze, Maud Mannoni, Jean Martin, Renée Marcel-Martinet, Jean-Daniel Martinet, Andrée Marty-Capgras, Dionys Mascolo, François Maspero, André Masson, Pierre de Massot, Jean-Jacques Mayoux, Jehan Mayoux, Théodore Monod, Marie Moscovici, Georges Mounin, Maurice Nadeau, Georges Navel, Claude Ollier, Hélène Parmelin, José Pierre, Marcel Péju, André Pieyre de Mandiargues, Edouard Pignon, Bernard Pingaud, Maurice Pons, J.-B. Pontalis, Jean Pouillon, Denise René, Alain Resnais, Jean-François Revel, Paul Revel, Alain Robbe-Grillet, Christiane Rochefort, Jacques-Francis Rolland, Alfred Rosner, Gilbert Rouget, Claude Roy, Marc Saint-Saëns, Nathalie Sarraute, Jean-Paul Sartre, Renée Saurel, Claude Sautet, Jean Schuster, Robert Scipion, Louis Seguin, Geneviève Serreau, Simone Signoret, Jean-Claude Silbermann, Claude Simon, René de Solier, D. de la Souchère, Jean Thiercelin, Dr René Tzanck, Vercors, Jean-Pierre Vernant, Pierre Vidal-Naquet, J.-P. Vielfaure, Claude Viseux, Ylipe, René Zazzo.2)l'Adieu à Francis Jeanson:-a) Bouteflika rend hommage à Francis Jeanson, fondateur des « porteurs de valises »Par AFP , le 03/08/2009 réactions : 1Le philosophe et fondateur des « porteurs de valises », Francis Jeanson, restera un « exemple vivifiant » d'un intellectuel qui a combattu aux côtés des Algériens pour leur indépendance et l'honneur de la France, a affirmé lundi le président Abdelaziz Bouteflika."Il est urgent, au moment où Francis Jeanson nous quitte, de reprendre, sur les deux rives de la Méditerranée, son message de lumière et de l'amplifier pour ouvrir plus grandes les portes d'un avenir convivial, dont il a démontré la possibilité", écrit Bouteflika dans un message de condoléances à la famille du défunt."Francis Jeanson fut et restera dans la mémoire des peuples algérien et français l'exemple vivifiant d'un intellectuel lucide et exigeant qui combattit avec rigueur et chaleur, talent et efficacité, la domination coloniale française dans notre pays", dit encore Bouteflika. Jeanson "épouse en mots et en actes la cause de la lutte de libération nationale de notre peuple, convaincu qu'il contribuait, dans le même temps, à libérer la France de sa boursouflure coloniale", ajoute le président.Le chef d'Etat algérien a également affirmé que "Francis Jeanson fut et restera dans la mémoire du peuple algérien un frère de combat et d'espoir dans l'élaboration d'une relation amicale entre les nations algérienne et française enfin débarrassées des scories du temps colonial".b)Le journal Algérien EL WATAN:Francis Jeanson, fondateur d’un réseau de soutien au FLNFrancis Jeanson, fondateur d’un réseau de soutien aux militants du Front de libération nationale (FLN) qui combattaient pour l’indépendance de l’Algérie, estime que l’Etat français a trahi les valeurs d’égalité, de justice, de liberté.Dans quelles circonstances est né ce réseau Jeanson ?En 1948, j’ai passé six mois en Algérie, durant lesquels j’ai rencontré des « gens du peuple ». J’ai fait la connaissance de nationalistes, qui m’ont décrit la situation, en Algérie, une situation caractérisée par un immense mépris des Européens vis-à-vis des Algériens. Mais un mépris par la loi aussi : une loi faite pour les colons, pas pour la population. J’avais 26 ans à l’époque. J’ai été invité quelques mois plus tard à faire une tournée de conférences et j’ai été reçu par la « grande colonisation ». On me parlait en toute liberté, pensant que je ne pouvais qu’être d’accord. Ce qui m’a été dit dépassait de beaucoup, question mépris, tout ce que m’avaient raconté les nationalistes.Quelles ont été vos actions ?Quand l’insurrection a éclaté, j’ai d’abord publié L’Algérie hors la loi, avec Colette Jeanson. Un livre qui dénonçait l’écrasement colonialiste de l’Algérie. C’est pour cela que des Algériens que j’avais connus là-bas sont venus me voir à Paris. Ils avaient une mission d’ordre politique : essayer d’expliquer la situation au peuple français. Mais, à Paris, ils ne pouvaient pas circuler : ils étaient arrêtés « au faciès ». Alors ils m’ont demandé de les aider. Je les ai d’abord trimbalés dans Paris, puis peu à peu, ils ont fait état de plusieurs besoins : des lieux de réunion, des possibilités d’hébergement, le passage des frontières. C’est ainsi que s’est constitué l’embryon d’un réseau. Puis on m’a demandé de rentrer dans la clandestinité. A partir d’octobre 1957, c’est devenu un vrai réseau. Plusieurs secteurs fonctionnaient en permanence. Nous avions pour mission de soutenir les responsables de la Fédération du FLN et de récolter les cotisations des Algériens en France, de les rassembler pour faire passer l’argent en Suisse. Il y avait aussi constitution de filières de passage et fabrication de papiers.Avec le risque de passer aux yeux de nombreux Français pour un traître ?J’avais un sentiment très net que la population française n’était pas hostile aux Algériens. S’il y avait trahison, c’était celle de l’Etat français par rapport aux valeurs républicaines d’égalité, de justice, de liberté ; la fraternité, n’en parlons pas ! Nous étions loin du compte. Si c’était à refaire, je le referai. J’ai simplement poussé un soupir de soulagement quand l’Algérie a obtenu son indépendance. Auparavant, nous avions peur de créer des difficultés pour les Algériens que nous avions à soutenir. Si nous étions arrêtés, ce n’était pas très grave. Mais si eux l’étaient, ils pouvaient être torturés, et ça a été ma seule peur pendant des années.c)Le journal l'Humanité:Francis Jeanson. RéactionsHenri Alleg, ancien directeur d’Alger républicain, torturé par les parachutistes, expérience qu’il a relatée dans son livre la Question : « Tous ceux qui ont vécu les dures années de la guerre d’Algérie ressentiront la même émotion à l’annonce de la mort de Francis Jeanson. Français ou Algériens, c’est avec un grand respect qu’ils évoqueront l’homme qu’il fut, "éveilleur de consciences" et militant clairvoyant et courageux de la cause des opprimés. Sans doute, entre lui et nombre d’autres ardents anticolonialistes (dont les communistes) les différences de points de vue n’ont-elles pas manqué mais leur accord était entier pour affirmer et défendre l’essentiel : le droit du peuple algérien de vivre libre et le devoir de ces millions de Français, restés fidèles à leurs traditions de liberté et d’égalité, de soutenir, quel qu’en soit le risque, sa juste cause. Pour les uns et pour les autres, en ce jour de deuil, c’est l’occasion de se souvenir du sens profond de son combat, celui qu’il mena avec l’espoir d’un avenir de fraternité et de paix entre les deux peuples. »Marie-George Buffet, secrétaire nationale du PCF : « Il est des hommes dont les pages de la vie parlent pour eux. Francis Jeanson était un de ces hommes-là, pour qui l’engagement était intrinsèquement lié à sa vie d’homme. Il n’était pas de ces clercs qui dictent des textes depuis leurs bureaux, il était de ces intellectuels engagés dans la parole, les écrits mais surtout les actes. Sa collaboration avec Sartre et particulièrement son engagement sans faille aux côtes des militants pour l’Algérie indépendante allaient faire de lui un des repères dans cette longue et dure bataille contre le colonialisme français. Il sera condamné pour avoir aidé ceux dont le combat était juste. Nos objectifs étaient souvent les mêmes, les chemins pour y parvenir divergeaient parfois. Son indépendance d’esprit et son intégrité totale allaient lui faire croiser souvent la route des communistes. Il n’était pas "un compagnon de route" mais un compagnon de lutte exigeant et sincère. Je m’incline très respectueusement devant un homme dont toute la vie n’a été qu’un long combat pour une humanité plus juste. Il est un homme qui a marqué le XXe siècle. Pour parler de lui, je citerai ces quelques vers d’Aragon : "Qu’une voix se taise, sachez-le, toujours le choeur profond reprend la phrase interrompue." »Alain Krivine (NPA) : « Francis Jeanson était pour moi un symbole de la volonté d’une partie de la gauche d’aider concrètement la lutte du peuple algérien et d’appliquer de façon radicale les valeurs anticolonialistes, au moment où une autre partie de la gauche participait directement ou indirectement à la guerre coloniale. En ce sens, il a relevé le drapeau, malheureusement avec peu de monde, de l’internationalisme. Le réseau Jeanson, c’était la capacité de rassembler, à titre individuel, des militants communistes, trotskistes, catholiques, notamment. »Le silence de nos cadres pendant cette période de vacances 2009 sur la situation de notre pays demeure consternant,alors que cetains se sont autorisés à approuver l'horreur sur l'îlet caret et se sont TUS sur des dossiers tel :La Sara,France Télécom,EDF,only ,médiaser,carrefour,la bouteille de gaz obsolète depuis plus de 10 ans,et on continue à nous faire une caution de plus de 30 euros où est allée cette caution?La gestion des routes où se trouve ses rapports d'activité et ceux des banques,des Assurances,des amendes électroniques pour excès de vitesse ,pourquoi notre pays est géré le ministère de l'intèrieur alors qu'en Corse des bombes explosent tous les jours,elle ne l'est pas!Pourquoi cette discrimination dans la continuité territoriale entre la Corse et Nous elle perçoit 5 fois plus que nous aui nom de quoi,et pourquoi?,alors que nous sommes très présent et peut être trop sur tous les théâtres militaires depuis 1779!Pouquoi les déportés sont oubliés par les POLITIQUES ET LES INTELLECTUELS DE NOTRE PAYS?POURQUOI WILLY BRIGITTE CROUPIE EN PRISON DEPUIS 2003 ALORS QUE SON DOSSIER EST VIDE!L'affaire de Fleury Mérogis où un jeune homme est mort de manière suspecte provoque une enquête des autorités policières et judiciaires me fait penser à celle de regretté PATRICK MIRVAL MORT AUSSI A FLEURY MEROGIS EN 1974,aucun politique d'hier et d'aujourd'hui ne s'intéresse à ce cas là POURQUOI?Un peuple qui entretient l'oubli de ses Enfants ne peut triompher durablement à aucune cause SERIEUSE.Car leur comportement irresponsable démotive les parents des victimes qui sont nombreux.Par exemple WILLY BRIGITTE représente près de 300 personnes,ce n'est pas RIEN!On se doit d'être ferme sur les principes défendus par FRANCIS JEANSON .Sa méthode de remise en question de l'ordre établi par la terreur violente à l'époque ,aujourd'hui elle vicieuse,par exemple quand le président débarque dans sa soit disante famille de GUADELOUPE avec 900 policiers et gendarmes cela fait désordre,car c'est méprisé ceux qui sont sur place ,imaginons le président OBAMA à SAN JUAN DE PORTO RICO VIENT AVEC CE CHIFFRE DE MILITAIRE CELA SE SAURAIT.ES- CE BIEN RAISONNABLE DE FAIRE CELA? Donc la méthode de FRANCIS JEANSON reste d'actualité,seule un réveil collectif basé sur le respect mutuel permettra la résolution de certaines questions dont la plus urgente reste celle de la Réparation pour occupation illégale de la Terre de nos parents Amérindiens,les milliards d'heures de travail de nos parents Amerindiens-Africain- Hindoux accaparés par le patronat dominé par les cadres Métropolitains et Blancs pays Békés Martiniquais et aussi le dossier de nos parents à PANAMA le professeur JOS à mis au grand jour ce dossier il faut le muscler en demandant des compte à l'ETAT seul responsable de cette saignée démographique ,le pillage par la sara france télécom..des consommateurs sur des decennies.Tout cela necessite UN DEDOMMAGEMENT FINANCIER AU DEPARTEMENT ET A LA REGION QUI REALISERONT LES INVESTISSEMENTS CREATEURS D'EMPLOIS POUR LES JEUNES.

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